Journal d’un futur rentier (51)

Cette publication est la partie 50 de 86 dans la série Journal d'un futur rentier.

Journal2017. Une année de plus. Et une année de moins vers ma vie de rentier. Si j'arrive à tenir mon objectif ambitieux, ça voudrait dire qu'il me reste environ 4 ans à tirer. J'ai l'impression que mon rêve commence à devenir tangible.

Mais avant cela, il me reste beaucoup à faire (ou plutôt à investir), et le niveau actuel de la bourse ne m'aide pas vraiment à avancer. En ce moment je suis plutôt dans une phase où je vends certains titres qui ont épuisé leur potentiel d'appréciation du dividende. De plus, à cause des valorisations des actions, mes achats sont de plus en plus rares. Ceci signifie que non seulement, en vendant, je me prive de certains revenus, mais également que je ne peux pas m'acheter d'autres rentes de dividendes. Il est donc difficile dans cette situation de faire des progrès sur le chemin qui me reste à faire.

Je pourrais certes ne pas vendre et continuer à acheter, sans trop me poser de question. Mais mes expériences passées m'ont appris que la bourse pouvait très vite se retourner, surtout quand elle est à des niveaux pareils. Je préfère donc jouer la prudence, investir parcimonieusement, et garder du cash de côté pour en profiter lorsque le moment sera venu.

Dans le même ordre d'idée, j'aurais pu également ne pas investir une partie de mes économies dans le Negociação automática de sinais, qui ne paie pas aujourd'hui un grand rendement par rapport au coût d'achat et qui a de la peine à rivaliser avec une approche uniquement orientée "longue" lorsque le marché bat records sur records. Mais là aussi je préfère jouer la prudence, quitte à renoncer à quelques gains aujourd'hui, car je sais que je vais m'y retrouver lorsque le marché se sera retourné, ou même s'il devient simplement "plat". Je sais aussi que le rendement sur coût d'achat du Trading Auto Signal, bien que dérisoire aujourd'hui, va fortement progresser ces prochaines années.

LER  Journal d'un futur rentier (27)

La question est : est-ce que le marché me permettra d'investir suffisamment vite pour maintenir mon objectif? Impossible d'y répondre sans pouvoir prédire l'avenir. Tout ce que je peux faire à ce stade c'est d'être prêt le jour où cela se passera...

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2 pensamentos sobre “Journal d’un futur rentier (51)”

  1. Bonjour Jerome , Meilleurs voeux ,,,,
    En ces périodes d incertitudes et de records , un Suise bien connu également , Marc Faber place
    un maximum de cash dans les treasuries , que penses tu d un ETF comme BLV ???

    1. Salut guyem. Tous mes voeux également. Je possède quelques obligations mais c’est pour du placement à court terme. Très honnêtement je ne suis pas trop fan. Ça paie très peu et ça n’aime pas les hausses de taux d’intérêt, ce à quoi il faut s’attendre, en tout cas aux US.

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