Entonces, ¿existe un rendimiento máximo a tener en cuenta para evitar este tipo de inconvenientes? La respuesta no es tan sencilla, pero para ello podemos utilizar el ratio de pago. Pour conserver une marge de sécurité, une entreprise ne devrait pas payer plus de 70% de son bénéfice sous forme de dividende. Ce faisant, elle s'assure que même si le bénéfice baisse elle pourra maintenir ses distributions, voire même les faire progresser. Un taux de 2/3 est souvent considéré aujourd'hui comme étant la norme, offrant un bon compris entre opportunité de développement et gestion du risque. Si l'on utilise la formule qui dit que le PER = ratio de pago / rendement, on se rend compte que si on prend un titre qui paie 5% de rendement et qu'on garde la limite des 70% citée ci-dessus, on obtient un PER de 14. Cela signifie que si l'on achète un titre qui offre un rendement de 5%, le PER doit être inférieur à 14, pour respecter l'équilibre. Un PER de 14 c'est moins que la moyenne historique du marché et ça ne court pas les rues actuellement. Autrement dit : à partir de 5% de rendement, méfiez-vous. C'est parfois une opportunité et souvent un piège...
A l'inverse y a-t-il un minimum à prendre en compte ? Jusqu'à il y a peu j'ai toujours considéré qu'un rendement d'au moins 2% était nécessaire pour en vouloir la peine. Avec le temps j'ai néanmoins revu ma position. Je peux très bien m'accommoder de titres qui paient nettement moins, à condition que le ratio de distribution soit très faible (ou que le PER le soit aussi) et que la société suive une politique de dividendos crecientes. Si l'on utilise la formule ratio de distribution = PER x rendement, et que l'on ait un rendement de 1% avec un PER de 15, cela nous donne un ratio de distribution de 15. Un niveau aussi bas permet à la société soit de continuer à investir dans sa propre croissance, soit de substantiellement augmenter à l'avenir son dividende. De surcroît les avantages fiscaux d'une faible politique de distribution sont importants. Je ne me fixe donc pas de seuil minimal en termes de rendement, pour autant au moins qu'un dividende doit payé, qu'il soit croissant et que le ratio de distribution soit d'autant plus faible que le rendement est peu élevé.
Acabamos de repasar los dos indicadores de valoración más conocidos que siguen y utilizan los inversores. Ambos son ciertamente útiles porque tienen el mérito de comparar el precio con un elemento más o menos concreto. Hemos visto, sin embargo, que ambos tienen varios defectos y sólo son eficaces para las grandes empresas. ¿Podemos, por tanto, encontrar ratios más eficaces, en todas las circunstancias? ¡Afortunadamente sí!
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No conocía la fórmula PER = ratio distribución/retorno.
Si tomo el ejemplo de Geberit:
– ratio de pago = 67,2%
– rentabilidad por dividendo = 2.33%
Obtengo un PER de 28,8.
Con un PER de 25-26, esto significa que Geberit actualmente está bastante valorado, o incluso infravalorado en alrededor de 10%.
¿Entendí correctamente el uso de esta fórmula?
No. Esta fórmula debería dar el mismo resultado. Pero puede haber pequeñas diferencias si el período utilizado es diferente (año natural o 12 meses consecutivos) o si los beneficios se contabilizan de forma diferente (resultados extraordinarios).
Es sólo una manera de obtener rápidamente un indicador que faltaría en los otros dos.
¿Cómo se valoran los REIT que legalmente deben pagar alrededor de 90% de beneficios?
Esto es un poco diferente...
https://www.investopedia.com/articles/04/112204.asp
Bien por la valoración de los REIT. Prefiero que paguen un dividendo que crezca lenta y seguramente a lo largo de una década, como bien dice Jérôme.
Excelente artículo! Me doy cuenta de que ya no es tan obvio como elegir una empresa que pague dividendos estables, no tanto como al principio...
GRACIAS. En esencia, no es muy complicado, pero de hecho las valoraciones actuales exigen que estemos muy atentos.
Hola Jérôme, invertiré la fórmula del ratio de pago para tener una idea precisa de la cobertura de dividendos pero también por razones aritméticas.