Bewertungsindikatoren (4/9)

Dieser Beitrag ist Teil 4 von 9 der Serie Bewertungsverhältnisse.

Gibt es also einen Höchstertrag, der berücksichtigt werden muss, um solche Unannehmlichkeiten zu vermeiden? Die Antwort ist nicht so einfach, aber dazu können wir das verwenden Ausschüttungsquote. Pour conserver une marge de sécurité, une entreprise ne devrait pas payer plus de 70% de son bénéfice sous forme de dividende. Ce faisant, elle s'assure que même si le bénéfice baisse elle pourra maintenir ses distributions, voire même les faire progresser. Un taux de 2/3 est souvent considéré aujourd'hui comme étant la norme, offrant un bon compris entre opportunité de développement et gestion du risque. Si l'on utilise la formule qui dit que le PER = Ausschüttungsquote / rendement, on se rend compte que si on prend un titre qui paie 5% de rendement et qu'on garde la limite des 70% citée ci-dessus, on obtient un PER de 14. Cela signifie que si l'on achète un titre qui offre un rendement de 5%, le PER doit être inférieur à 14, pour respecter l'équilibre. Un PER de 14 c'est moins que la moyenne historique du marché et ça ne court pas les rues actuellement. Autrement dit : à partir de 5% de rendement, méfiez-vous. C'est parfois une opportunité et souvent un piège...

A l'inverse y a-t-il un minimum à prendre en compte ? Jusqu'à il y a peu j'ai toujours considéré qu'un rendement d'au moins 2% était nécessaire pour en vouloir la peine. Avec le temps j'ai néanmoins revu ma position. Je peux très bien m'accommoder de titres qui paient nettement moins, à condition que le ratio de distribution soit très faible (ou que le PER le soit aussi) et que la société suive une politique de wachsende Dividenden. Si l'on utilise la formule ratio de distribution = PER x rendement, et que l'on ait un rendement de 1% avec un PER de 15, cela nous donne un ratio de distribution de 15. Un niveau aussi bas permet à la société soit de continuer à investir dans sa propre croissance, soit de substantiellement augmenter à l'avenir son dividende. De surcroît les avantages fiscaux d'une faible politique de distribution sont importants. Je ne me fixe donc pas de seuil minimal en termes de rendement, pour autant au moins qu'un dividende doit payé, qu'il soit croissant et que le ratio de distribution soit d'autant plus faible que le rendement est peu élevé.

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Wir haben gerade die beiden bekanntesten Bewertungsindikatoren untersucht, die von Anlegern befolgt und verwendet werden. Beide sind sicherlich nützlich, da sie den Vorteil haben, den Preis mit einem mehr oder weniger konkreten Element zu vergleichen. Wir haben jedoch gesehen, dass beide mehrere Mängel aufweisen und nur für große Unternehmen wirksam sind. Können wir daher unter allen Umständen effektivere Verhältnisse finden? Zum Glück ja!

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9 Kommentare zu „Les indicateurs de valorisation (4/9)“

  1. Ich kannte die Formel PER = Verteilungs-/Renditeverhältnis nicht.

    Wenn ich das Beispiel von Geberit nehme:
    – Auszahlungsquote = 67,2%
    – Dividendenrendite = 2,33%
    Ich erhalte einen PER von 28,8.

    Mit einem KGV von 25-26 bedeutet dies, dass Geberit derzeit fair bewertet, bzw. sogar um rund 10% unterbewertet ist.

    Habe ich die Verwendung dieser Formel richtig verstanden?

    1. NEIN. Diese Formel sollte das gleiche Ergebnis liefern. Es kann jedoch zu geringfügigen Unterschieden kommen, wenn der verwendete Zeitraum unterschiedlich ist (Kalenderjahr oder 12 rollierende Monate) oder wenn die Gewinne unterschiedlich gezählt werden (außerordentliche Ergebnisse).
      Es ist lediglich eine Möglichkeit, schnell einen Indikator zu erhalten, der bei den anderen beiden fehlen würde.

  2. Ausgezeichneter Artikel! Mir ist klar, dass es nicht mehr so selbstverständlich ist, sich für ein Unternehmen zu entscheiden, das stabile Dividenden zahlt, nicht mehr so selbstverständlich wie am Anfang ...

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