Journal d’un futur rentier (39)

Dernière mise-à-jour : 2 janvier 2017

JournalIl y a déjà plus d'une année j'écrivais un article sur les revenus passifs. Une des conclusions était que les dividendes figuraient parmi les seules sources de gains que l'on pouvait réalisait sans travail ou presque.

Voilà plus d'un mois que je travaille comme un acharné sur mon site Internet pour réparer un bug qui le ralentit considérablement ou qui le fait carrément planter par moments. Consacrer des heures à un site Internet tous les jours, en plus de son travail habituel, tout en essayant de ménager ses enfants et son épouse, voilà un exercice qui se révèle impossible.

On est en tout cas très loin de la notion de revenu passif que certains auteurs suggèrent que l'on peut tirer du web. Surtout que pendant qu'on essaie de régler des problèmes techniques, on ne se consacre pas à la réelle vocation d'un blog : l'écriture.

Bref, quand je regarde en arrière, et que je considère les heures consacrées à mon site durant les cinq dernières années, je me dis que si je n'étais pas guidé par la passion, j'aurais déjà plié bagage depuis très longtemps. Pas étonnant en tout cas qu'on voit fleurir et disparaître les blogs les uns après les autres, en l'espace de quelques mois.

Et pendant tout ce temps, les dividendes continuent inlassablement à tomber, quoi qu'il se passe...

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2 réflexions sur “Journal d’un futur rentier (39)”

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    Bonjour,

    J’aimerais émettre l’idée que la meilleure façon de tirer parti du web n’est pas à travers la réalisation d’un blog et la rédaction d’articles.. L’écriture peut être perçue comme un « travail », bien qu’elle soit certainement plus plaisante qu’une vie condamnée à suivre des ordres et directives. Ce qui représente ici un revenu passif est – par exemple – la somme récoltée via le display (les pubs). La rédaction du contenu n’en est qu’un levier. D’ailleurs beaucoup de blogueurs délèguent l’écriture à des « assistants » ou des « freelances » spécialisés.

    Cependant toucher des revenus grâce à adsense, doubleclick etc.. est une dépendance : à la fois de la régie publicitaire, voire même des moteurs de recherche (qui peuvent vous blacklister, donc dramatiquement diminuer votre trafic).

    La pub n’est vraiment rentable qu’à partir du moment où le trafic et, par exemple, le « CTR » sont suffisamment importants.
    Pour y aboutir, l’écriture ne suffit pas… Il y a généralement tout un plan marketing qui se cache derrière.

    L’essentiel réside également dans l’automatisation des tâches. Eventuellement la création de produits et la proposition de services. Mais la maintenance devrait représenter une part minime des efforts accomplis. […]

    Je vous souhaite de réussir dans votre objectif.

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