Novartis est née de la fusion de Ciba-Geigy et Sandoz en 1996. La société dont le siège est situé à Bâle est le 3e groupe pharmaceutique au monde, 2e producteur de médicaments génériques et détient 6% du marché mondial des vaccins. Le titre fait son entrée cette semaine dans notre portfolio, en même temps que Roche, suite à notre souci de diversification des monnaies et à nos résolutions de 2011. Novartis possède beaucoup des qualités que nous cherchons chez un grand payeur de dividendes et le titre est côté en CHF sur le SMI, ce qui permet de diminuer la surexposition au dollar. Néanmoins, la "jeunesse" de la société et de son dividende tient difficilement la comparaison face aux ténors de notre portfolio, tels que Procter & Gamble O Johnson & Johson. Novartis est donc l'équivalent d'un excellent espoir d'une équipe de foot, un jeune plein de potentiel qu'il faut garder sous la main et surveiller. Notre algorithme le fixe en "hold", derrière McDonald, mais bien placé tenant compte de sa jeunesse relative. A ce jour nous n'avons donc pas pris de position directe sur Novartis.
Le rendement en dividendes sur le long terme est correct, à 3%. La société a augmenté ces dernières années ses distributions sur un rythme annuel intéressant de 15.62%. Le taux de distribution s'élève à 45%, ce qui laisse une bonne marge de manoeuvre à Novartis en cas de passage difficile. La volatilité est également attrayante, avec 11.91%.
Scopri di più da dividendes
Abbonati per ricevere gli ultimi articoli inviati alla tua e-mail.