Journal d’un futur rentier (41)

Cette publication est la partie 40 de 86 dans la série Diario de un futuro pensionado.

PeriódicoHuit ans. Je fais et refais mes calculs dans ma tête, mais j'arrive toujours au même chiffre. Huit années à encore travailler. C'est long et court à la fois. Long parce que cela représente pas loin de 2'000 journées à devoir se lever tous les matins pour gagner sa croûte. Court parce qu'en regardant huit ans en arrière,  j'ai l'impression que c'était presque hier.

Depuis que j'ai commencé ma quête de l'indépendance financière, je vois défiler les années, mais rien ne change à mon objectif initial, si ce n'est qu'il se rapproche de plus en plus. Je n'ai pas pris d'avance, ni de retard. Je suis "just in time".

Huit ans. Ce n'est pas grand chose quand on y pense. Je m'imagine déjà à la fin 2022 me dire qu'il ne me reste plus qu'une année à travailler. Quel sentiment particulier cela doit être... un peu comme avant de partir en vacances : un mélange de fatigue et d'excitation.

Certes, on n'en est pas encore là. Comme je le disais récemment, je ne suis pas certain de pouvoir attendre encore aussi longtemps. En augmentant ma capacité d'épargne et la performance de mes placement j'ai l'opportunité de pouvoir raccourcir cette échéance. Si j'y arrive, tout cela pourrait donc même arriver plus tôt. Pour cela il faudra du courage, de la persévérance, de la sagesse et même un peu de chance.

Mais une chose est sûre, dans huit ans au plus tard je serai rentier. Vu comme cela, ça aide à relativiser pas mal de choses...

LEER  Journal d’un futur rentier (53)

Navegación en la serie.<< Journal d’un futur rentier (40)Journal d’un futur rentier (42) >>

Descubre más desde dividendes

Suscríbete y recibe las últimas entradas en tu correo electrónico.

7 comentarios en “Journal d’un futur rentier (41)”

  1. Mustachian Post

    Bravo !
    Cela fait combien de temps que tu t’es lancé dans l’aventure ? (désolé je surf depuis mon natel et pas le courage de lire tout le blog à cette heure…)

    1. Difficile à répondre simplement à cette question. Sans doute que j’ai toujours voulu inconsciemment devenir rentier. J’ai commencé à en avoir une idée précise il y a une quinzaine d’années. En même temps j’ai commencé à mettre un peu de côté et à boursicoter. Mais cela fait vraiment cinq ans que je m’y suis mis très sérieusement en lançant ce blog.

  2. Jérôme, pour mettre les choses en perspective, peux-tu nous donner ton âge? Ou au moins celui que tu auras quand tu seras rentier au plus tard ? 🙂

  3. Hola Jerónimo,

    Superbe ! …Pour plus de précision, je souhaiterais a peu près savoir ce que représente l’ effort d’épargne ou le capital au départ que tu estime être minimal pour réussir une telle stratégie ? Merci pour ce site !

  4. Buen día,

    Je pense que pour être rentier en Suisse, il faut un capital d’environ 3 millions CHF. Avec mon épouse, nous sommes à quasiment 2 millions, et on a absolument pas les moyens de résider correctement et sans vivre comme des rats dans le Canton de Genève.

    Vous partagez mon analyse?

    Patrick ( chez les pauvres en Haute Savoie)

Deja un comentario

Tu dirección de correo electrónico no será publicada. Los campos obligatorios están marcados con *