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Bom dia
voir le lien suivantJe ne connais qu’une partie de titres que tu suis, mais tu sembles parti dans la bonne voie.
Je te tire mon chapeau. Courageux de débuter ainsi, alors que le marché est très haut.
Cela me rappelle mes débuts en 2000.
Tu as néanmoins l’avantage de te focaliser sur des titres qui sont dans l’ensemble de nature défensive, ce qui limite les pertes en cas de baisse.
Bonne bourse !Bonjour Guilhem et bienvenue à toi.
Plein succès dans tes investissements et pour ton blogC’est une bonne nouvelle car la plateforme swissquote est bien foutue.
Je te conseil ce poste, on traite le sujet en long et en large :
http://www.dividendes.ch/forum-2/le-bar/frais-de-courtage/
Perso je conseille postfinanceBonjour badinvest et bienvenue ici
merci pour ton intérêt à dividendes.ch
bien entendu il demeure toujours une part de doute et de hasard, même avec les dividendes, car ils dépendent des bénéfices
mais contrairement aux prix des action, les dividendes ne varient pas en fonction de l’humeur du marché, de l’euphorie ou de la panique ambiante
et ça c’est le gros plus
et n’oublions pas que les dividendes, ça se gère sur le long terme, donc pas dans la même catégorie que ceux qui jouent sur le doute et le hasard justementIntéressant, merci pour ce feedback.
Au passage sais-tu s’il est possible de trader des MLPs chez eux ?Je connais certains de ces titres. Attention tout de même, apparemment tu t’aventures dans une stratégie haut rendement qui n’est pas dénuée de risques. Attention aussi aux REITs mortgage, pour les mêmes raisons.
Je te conseille avant tout de lire les différents posts sur le forum ou sur le site.
quelques liens utiles pour toi :
http://www.dividendes.ch/tutorial/
http://www.dividendes.ch/2011/10/investir-dans-les-dividendes-quels-sont-les-risques/oui il faut surtout se focaliser sur des titres défensifs à faible beta et qui n’ont pas progressé aussi vite que le marché
Bienvenue lvasso
tu es ici au bon endroit. Bonnes recherches sur le forum et sur le site. Et à dispo si tu as des questions.
JerônimoBom dia
j’ai acheté Senior Housing le 9 avril dernier qui me semble un titre intéressant. Le cours a déjà un peu progressé depuis mais ça reste abordable.
Voilà ci-dessous la réponse de Postfinance par rapport à ma question sur le règlement de dépôt relatif aux valeurs étrangères… ça fait réfléchir, même si j’ai des doutes que le scénario exposé ci-dessous s’applique un jour à des valeurs américaines. Par contre cela signifierait quand même que les titres US sont traités selon la loi américaine en cas de faillite, et il ne me semble pas que dans ce pays les titres sont la propriété de déposant, comme en Suisse. Je vais me faire confirmer cela par Postfinance et leur demander du coup avec quel(s) intermédiaire(s) américains ils traitent. C’est quand même incroyable, on croit placer notre argent en Suisse et en fait il est à l’étranger, soumis à des lois différentes, et on ne sait même pas chez qui… je trouve cela lamentable et cela prouve bien que le milieu financier malgré tout ce qui s’est passé se fout toujours éperdument de ses clients… A noter que cette règle n’est pas propre à Postfinance. La BCV avec qui ils collaborent mais aussi la Banque Migros et Strateo appliquent cette règle. Je pense que s’il l’on fouille un peu, toutes les banques du pays font de même…
« En cas de faillite d’un sous-dépositaire (« un intermédiaire »), la banque va faire valoir son droit à la restitution des titres pour le client auprès de l’administration de liquidation de la banque en faillite. Pour expliquer la signification de l’art. 1.4, il me paraît judicieux de faire une démonstration à l’aide d’un cas illustratif : Cette disposition vise par exemple le cas où le client a acheté des actions d’une société brésilienne (à titre d’exemple) et les détient dans son dépôt. Soudainement, les autorités brésiliennes décident (changement réglementaire) de ne plus autoriser la sortie des actions de ses sociétés nationales (ce qui est hors du pouvoir de la BCV et de son sous-dépositaire auquel elle a dû recourir pour le dépôt des titres brésiliens puisque la BCV ne peut les garder elle-même ). Dans ce cas, le client s’il veut vendre ses titres brésiliens, avec l’aide de sa banque, la BCV attire, moyennant cet article 1.4., l’attention du client sur le fait, que les titres, respectivement même le produit de vente des titres, peuvent être difficilement (limite maximale mensuelle par exemple) voire pour le moment pas du tout (en fonction des exigences réglementaires du marché brésilien) être vendues en dehors du Brésil et que dès lors la BCV ne peut donner ou que partiellement donner suite à l’ordre de vente du client. Dans tous les cas, les droits du client demeurent (droit à la remise des titres ou le paiement correspond, si ce droit existe et qu’il est transmissible), mais sont momentanément suspendus.. La banque dépositaire (donc la BCV) ne peut céder plus de droits qu’elle en a et elle n’assume pas une responsabilité ni pour les émetteurs ni pour les autorités étatiques où un investisseur souhaite investir.
Ce qu’il faut retenir, c’est que l’investissement dans des valeurs reste un risque, puisque l’émetteur (la société des titres achetés par un investisseur) peut faire faillite (perte de la valeur), les autorités du pays de la société émettrice peuvent décider de nationaliser une société (perte probable de la valeur) ou décider de ne plus accepter des sorties de fonds de leur pays (intégrale/partielle) pendant une certaine durée (crise économique, guerre, etc). »Exemple très intéressant, mais ce problème ne se pose que pour les titres hors US, puisque le remboursement de la retenue supplémentaire US se fait directement à l’administration fiscale lors de la taxation. Encore une fois les dividendes US sont plus intéressants…
Et tu as raison, les services bancaires de ce type sont hors de prix… j’avais demandé à plusieurs banques des relevés fiscaux et ça se compte en plusieurs centaines de francs. N’importe quoi.curieux d’entendre leur réponse
Je ne me suis jamais trop cassé la tête par rapport à ces différences entre pays mais je l’ai toujours plus ou moins compris ainsi :
– une part, à peu près la moitié en général, concerne la part d’impôt suisse qui doit être annoncé si l’on veut récupérer le montant (qui viendra en déduction de la prochaine facture du fisc). En contrepartie ce montant sera considéré comme un revenu, comme pour un titre suisse.
– une autre part concerne l’impôt qui va au pays du titre en question et qui n’est pas récupérable. Par contre ce montant doit être annoncé au fisc suisse pour ne pas être imposé sur cette part.
Voilà comme je le comprends, je n’ai jamais cherché à fouiller plus en détail parce que je considère que les fondamentaux de dividendes sont plus importants que les aspects fiscaux. Si des experts en la matière ont des infos à ce sujet elles sont les bienvenues. -
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