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AutoreInviare
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CIAO,
Merci de ton retour.
J’osais pas le dire mais c’est un apprentissage de se désintoxiquer du travail et avoir le luxe du temps! Aussi bizarre que ça puisse paraître.
Mon ancienne vie m’a été rappelée après les vacances de fin d’année lors du retour de tout le monde au travail !! Pas de regrets bien au contraire..
En résumé:
– Apprentissage dans le domaine de la prévoyance – inclus la maximisation des possibilités fiscales disponibles pour le 2ème pilier- (qui n’est pas très apprécié par certains mais dans mon cas très effectif).
-Diversification des mes sources de revenus avec le crowdfunding dans l’immobilier (Foxstone)
-Revue complète de mes dépenses…
-Création d’une entreprise. Je suis maintenant mon propre employé à temps partiel ce qui me permet de me verser un salaire faible (pourvu que ça dure) qui a le double avantage d’ajouter une petite diversification des revenus et de qualifier pour le paiement de l’AVS/AI/etc . J’évite donc de payer des cotisations AVS/AI/etc. sur la base des revenus+fortune comme personne sans activité lucrative.
L’0ffre pour la gestion des comptes « Libre Passage » m’a surpris par son manque d’homogénéité, malgré la régulation en place, et les différences marquées dans les structures de coûts et des résultats.
Cette flexibilité, surtout au niveau du capital « sur obligatoire », a été bienvenue pour le choix des institutions de LP, particulièrement en ce qui concerne l’allocation stratégique et le contrôle de la gestion (par moi-même ou par l’institution). Cela permet une diversification, étant donné que mon portefeuille est principalement axé sur les dividendes, alors que le Libre Passage consiste uniquement de ETFs.
Sur ma feuille de route: Profiter de mon temps flexible, voyager, prendre du plaisir dans ma nouvelle activité professionnelle sans prise de tête, stress et autres contraintes liées à un travail classique. Je me donne 2 à 3 ans avant de faire le point.
Bientôt n’est plus adéquat comme pseudo.. je devrais utiliser « C’est fait » . La rate race est over pour moi!
10 Maggio 2023 alle 07:50 in risposta a: Vente de calls couverts (« covered call strategy ») #419950Règle No1 pour les ventes de calls est d’être d’accord d’être exercé donc de vendre ton titre à la valeur du strike. Règle basique mais comme tjs en finance c’est le plus important.
Vendre des calls sur une partie (au lieu de la totalité) du sous-jacent est une façon de minimiser le risque de timing car un jour le prix de ton action va s’apprécier… et tu va regretter d’avoir vendu tes calls.
Je crois que tous les principes de base ont été revus dans les échanges et ton approche sélective est (à mon avis) intelligente. Comme le mentionne Frouzback si la vol du sous-jacent est basse la prime sera moindre. Attention de ne pas tomber dans le piège de maximiser la prime en vendant des calls sur des positions de croissance dans le portefeuille qui ont souvent une vol plus élevée.
Je me permet d’attirer ton attention sur le style. Tu l’as probablement lu lors de tes recherches: si tu vends une option de style américaine tu peux être exercé n’importe quelle date par contre avec des “européennes” c’est seulement a maturité.
En ce qui concerne le bid/offer tu peux tjs laisser une limite a l’intérieur du spread (différence prix achat /vente) pour essayer maximiser ton prix. Une indication de la liquidité est l’”open interest” cad la quantité de contrats ouverts pour un strike/maturité déterminée. Plus cette quantité est élevée plus, à priori, le spread pourrait être réduit.
Si tu veux minimiser tes coûts de transactions une maturité de 3 mois est aussi un bon compromis pour maximiser le facteur changement de la valeur temps et ne pas être en permanence entrain de traiter. Ceci reste évidement un principe général.
Enfin la même stratégie de vente d’option peut être mise en place si tu veux acheter des titres par vente de put. Les rendement peuvent être intéressant quand la vol est élevée. A bien comprendre avant d’essayer car ceci à déjà ruiné qq personnes… (tout comme la vente de call non couverte)
1 Maggio 2021 alle 08:25 in risposta a: Ray Dalio. Macro économie, dette, taux d’intérêt, devises, histoire et prévision #410842https://www.principles.com/the-changing-world-order/
La il ne fait pas les choses a moitié…lol. Bonne lecture. C’est gratuit en argent mais pas en temps.. pourtant ça vaut cet investement.
Pas réjouissant si il a raison.Jérome,
Je l’ai « rebalancé » dans ton dernier post car j’ai l’impression qu’il est trop seul au bar. Tu vas me dire normal en période de confinement, le bar est fermé! il vaut trop la peine dêtre lu celui-ci.
Bon week-end
Buongiorno,
Mes conclusions d’une revue récente: Pour une solution « banque » suisse, Corner (si plus de 75k) semble la moins chère pour les actions/ETF suisses et européennes, et le custody. Pour les fonds il me semble que Swissquote est la solution la plus économique avec un custody très bas.
Relevé fiscal 100chf chez Swissquote et min. 10ochf chez Corner avec ajout de 10chf par ligne au delà de 10 positions.
le nouveau venu Flow Bank (banque suisse) est un poil moins cher pour les actions européennes et surtout japonaise (15k = 0.3% / 30k = 0.15%) mais pas clair pour le relevé fiscal et surtout applique 0.1% pour le custody. On verra ce que va offrir CS avec CSX mais je doute qu’il nous propose une révolution.
Pour les actions US où ailleurs franchement vive les solutions made in USA, IB et autres; qui doivent d’ailleurs se mordre les doigts d’offrir le trading gratuit maintenant que les taux d’intérêts sont nuls. Ils ne peuvent en effet plus gagner de l’argent avec les positions cash des clients (ou alors avec des marges ultra fine sur le USD). Swissquote est clairement plus cher pour les actions! A terme cela a un vrai coût (surtout pour les riches Dividinde! Lol)
J’ai qq doutes pour les obligations. En suisse Swissquote semble moins cher (Corner applique des frais de garde sur les positions et Flow Bank n’est pas clair mais de toute façon mieux que Corner)
Ce qui n’est pas clair: le spread appliqué lors des opérations de change, tant chez Corner, Swissquote ou IB d’ailleurs (ne suis pas clients IB étant très content avec un autre américains)
Tout ceci dépend évidemment du « comportement » boursiers de tout un chacun..
Pour le risque cyber. Au niveau utilisateur, si tu utilises un password manager, que tu changes ton mot de passe de temps à autre, que ton identifiant ne soit pas facile ou évident tu minimises vraiment ton risque. la reconnaissance faciale n’est pas un remplacement du mot de passe effectif (long avant tout et avec des caractères spéciaux)! Idéalement on devrait utiliser une solution a deux étapes ou l’institution financière t’envoie un code de confirmation a utiliser pour le login après avoir passé l’étape Identifiant/mot de passe.
De plus… combien d’adresse email avez vous ? L’e-mail bancaire ne devrait en aucun cas être utilisé pour d’autres destinataires. Celui que vous utilisez sur internet ne devrait pas être le même que celui des amis/famille. Etc ..
Tu as raison d’y penser. D’abord et essentiellement car ce risque est trop minimisé. Ensuite parce que c’est un peu pot de fer contre pot de terre… même si tu as pris toute les précautions bonne chance pour te faire entendre. Vive les frais avocats et autres. De plus, le risque cyber s’applique pour l’institution elle même (hacking de l’institution) et il existe des limites aux protections étatique pour ton cash (car dans ce cas c’est le risque comme le mentionne effectivement Jérôme).
2 institutions est un minimum. S’il existe des problèmes avec une, pour n’importe quelle raison, tu dois pouvoir compter sur l’autre. C’est comme les investissements, la gestion du risque passe par la diversification.
Xavier,
Un grand merci pour la mention de Viac. J’ai passé qq heures à chercher un fournisseur « efficient « pour le 3eme pilier, mon broker en assurance ne connaissant pas de solutions de ce type.
Les ETFs méritent tout de même un minimum d’analyse car ils peuvent être construit de façon très différentes. Certains utilisent des swaps pour avoir l’exposition économique des sous-jacents (cad un contrat avec un tier, ce qui implique un risque de contrepartie, (rappelez-vous de 2008). Par opposition d’autres ont les positions sous-jacentes, ce qui est moins risqué (qui malgré tout sont des fois prêtées). Est-ce un isin « US »? .. alors un risque (pour les survivants) fiscal en cas de décès. Si tous les ETFs qui vous donnent de l’exposition à l’or devaient acheter le sous-jacent par certain qu’il y aie assez de métal jaune en circulation… enfin ce sont des instruments géniaux mais qui valent la peine d’un peu de recherche.
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AutoreInviare